Stevens, Alexander Robert

Feat. ZAC EFRON

© CRÉDIT ELENA TAGADOU

Âge : 18 ans Date&Lieu de naissance : 17 Aout 1991 à Miami Origine : Américain Statut : Célibataire Groupe : Rich; the money has done everything Poste vacant ? oui [x] non [] scénario []

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Mon histoire ; en un minimum de 10 lignes

C'est le 17 aout 1992 que je sortis pour la première fois ma tête. Je ne peux pas vraiment vous dire ce qu'il c'est passé car pour être honête je ne m'en souviens pas. Ce qui est un peu normal, non? Mais, grâce à ma mère je sais quelques détails. Par exemple; elle m'a dit que j'étais la plus belle chose qu'elle n'avait jamais vu au monde, qu'en me voyant mon père se mit à pleurer de bonheur et que c'était le plus beau jour de mes parents. Avec ces quelques informations, vous pouvez imaginé un peu comment ça s'est passé. C'est toujours mieux de laisser le cour à notre imagination. Mais maintenant, je vais vous raconter exactement ce qui s'est passé pour que j'arrive à mes 18 ans. Tout d'abord mes parents ne sont autre que les membres de la famille Stevens. Vous savez l'homme d'affaire le plus redouté de New York qui a quitté sa famille pour se remarier avec la femme de sa vie. Et oui, c'est moi le petit veinard qui a des parents richissime. Mais très vite, je me suis rendu compte que l'argent était loin de faire le bonheur. Au contraire, ça ammène plus de problème que ça en résolu. Laissez moi vous expliquer.

Je grandis un peu chaque jour avec la présence de mes parents. J'été très gaté et je ne manquais de rien. Dés que je souhaitais quelques chose je l'avais. Elle est pas belle la vie? Mais dés que je rentra à l'école primaire, je me suis rendu compte que tous les enfants n'étaient pas comme moi. Il y en avait même qui était l'opposé de moi. Ca veut dire qu'ils avaient peu d'argent. Je ne comprenais pas pourquoi car mes parents gagnaient beaucoup d'argent en étant un minimun au boulot. Du coup, j'ai demandé à ma mère et elle m'a expliqué qu'il y avait des personnes qui n'avaient pas bien travaillé à l'école du coup ils n'étaient pas assez intelligent pour avoir des métiers à responsabilité comme mon père. Je peux vous dire que quand j'ai appris ça, je me suis mis à bosser comme un malade. Je ne voulais pas être un simple caissier d'une superrette poisseuse. De me voir le nez dans les bouquins faisaient toujours beaucoup rire ma mère qui me disait que ce n'était pas la peine de travailler comme ça, car j'avais déjà un bon compte banquaire et qu'avec ça je pouvais dormir sur mes deux oreilles. Ce qui signifiait que je pouvais donner de l'argent à mes camarades. Mon père surprit par mon idée fahit s'étouffer avec son Whiski. Il était tout rouge et j'eu très peur. Il me dit que c'était une très mauvaise idée car dés qu'on donnait un peu de l'argent aux gens ils nous en réclamaient toujours. J'ai fais croire que j'été d'accord pour ne plus le mettre en colère mais je ne pense pas que les gens sont comme ça. D'ailleurs j'ai fais l'expérience. Bien sur mes parents ne sont pas au courrant, j'ai donné 10 $ au plus pauvre de la classe et celui-ci était très gêné jusqu'à devenir rouge comme une pivoine. Il refusa mon billet mais j'ai insisté tellement qu'il ne put le refuser. Malheureusement, une personne me vit donner le billet et le raconta à toute la classe. Une rumeur comme quoi, j'avais pitié de ce pauvre petit circula partout dans l'établissement. L'élève est devenu le souffre douleur de la classe. Tout ça à cause d'un malheureux billet. J'ai compris qu'ils étaient simplement jaloux. Alors de ma bonneté d'âme, je leur ai donné la même chose. Et là, un changement eu lieu. Tout le monde voulait devenir mon ami pour l'argent. J'étais complètement perdu et terrorisé à cette idée. Je me suis dis qu'avec le temps, ça passerait mais...

Une fois rentré au collège, ce fut la même chose. Si bien que je demandai de changer de collège pour aller dans un collège privé où tout le monde était comme moi. Mais parmi tous ses enfants riches, je n'étais pas très à l'aise. Ils étaient tous très studieux et avaient un air coincé. Comme s'ils ne s'amusaient jamais. C'était inquiétant. Du coup, je restais dans mon coin pour ne pas me faire remarquer. Mais un jour, je décidai de changer cette mauvaise ambiance. J'avais entendu que le sport pouvait renforcer les liens humains. Alors j'ai demandé au proviseur de former une équipe de basket qui fut mon équipe étant le capitaine. A part aux récréations quand j'étais au primaire, je n'avais jamais vraiment joué au basket. Mais j'avais été ami assez longtemps avec un basketteur pour me rappeller des conseils qu'il me donnait. Les entraînements étaient rudes mais je voyais déjà une amélioration des rapports sociaux entre les élèves. Ce qui me motiva à jouer encore mieux. Le jour de notre premier match je fus surpris de voir les gradins pleins. J'en fis part à mes équipiers qui furent tout aussi content que moi. Et on a gagné notre premier match, puis le second jusqu'à être en finale. Nous étions la meilleure équipe de tous New-York et l'école changea. J'étais très fier de moi mais aussi de mon équipe car ensemble on a décoincée le cul de nos camarades qui ne pensait qu'aux résultats. Je fus admis dans le lycée de New York, un public, grâce à mes notes. Finis le privé et ces tête d'ampoule. Même si j'avais passé de bons moments j'étais bien content d'aller dans le public. Et cette fois, je ne fis pas la même erreur: je cache mon argent le mieux que je peux pour ne pas revivre ce que j'appelle mon cauchemar. Je me plais ici. Je ne fais pas partit de l'équipe de basket mais il m'arrive encore de jouer à ce sport.

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Mon caractère ; en un minimum de 7 lignes

Je suis quelqu'un avec un coeur immense. C'est simple je ne supporte pas qu'une personne soit triste surtout si je l'aime. Rien que de la voir, même si je ne sais pas ce qu'elle a, je suis triste pour elle. Alors j'essaie de lui rendre le sourire en racontant des âneries, ça marche pas tout le temps mais la plus part du temps c'est le cas. Par contre, quand je suis triste, j'aime qu'on me laisse tranquille et je ne supporte aucun réconfort. J'ai l'impression que les gens ont pitié de moi du coup je reste seul avec mon ballon de basket. Et puis quand mon chagrin passe, je reviens comme si de rien était et recommence à vivre normalement. Je suis quelqu'un de plutôt cool et tolérant. Je ne juge personne sur ce qu'il a fait car on ne sait pas ce qu'on ferait à sa place. J'aime aider mes proches en donnant des conseils. Dés qu'il s’agit d'un secret, je reste muet comme une carpe et même sous la torture je ne dis rien. Vous l'avez compris, je suis fidele en amitié et pour moi l'amitié est quelque chose qui n'a pas de prix. L'amour? C'est quelque chose qu'on ne contrôle pas, c'est surement pour ça que par moment ça me fou la trouille. Mais, je ne peux pas nier qu'il n'y a rien de mieux qu'être amoureux. Maintenant je vais passer à quelque chose de beaucoup moins drôle: les ennemies. Je n’en ai pas beaucoup mais quand j'en ai je suis aussi cruel que le diable. Il ne m'en faut pas beaucoup pour que je m'emporte. Je ne suis pas très patient et je réagis dés fois sans réfléchir ce qui m'apporte quelques ennuies. Mais je ne regrette rien, du moins quand c'est par rapport à une personne que je déteste ou pour défendre une personne que j'aime.

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Mon physique ; en un minimum de 5 lignes

Sans me venter, je suis assez beau goss. Il faut dire les choses comme elles le sont, non? Un corps musclé grâce au basket dont je suis fière. Et comme tous les basketteurs je suis assez grand. Bref un vrai corps d'athlète qui en fait craquer plus d'une. J'ai les cheveux de ma mère, bruns et soyeux. Je les laisse mi-long car court ça ne me va pas. Pour mes yeux, je les ai bleux ce qui est peu banal pour un brun. Vous allez me dire que hors mis mon corps, je suis ordinaire. Je vous l'accorde mais j'ai un charme fou que je mets souvent à l'épreuve. En plus du charme j'ai un beau sourire qui me fait une gueule d'ange. Alors vous me trouvez toujours normal? Je suis sur que non. Pour les habits, je porte soit des jeans ou soit des joggings comme la plus part des mecs. Je ne suis pas du genre à porter des costards cravates bien que je les sorte pour de grandes occasions, exemple: soirée de charité ou mariage. Rassurez vous je n’y vais que occasionnellement. Je suis plutôt fête entre amis et boîte de nuit

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Mili

© CRÉDIT

Ton âge : 15 ans Comment as-tu connu le forum ? Par pub Comment le trouves-tu ? Génial Tes jours de connexion : 2/7 Veux-tu être parrainer pour être mieux intégrer? Of course Le code Spoiler:

Dernière édition par Alexander R. Stevens le Mar 23 Mar - 15:49, édité 6 fois